Originally published in TV5MONDE by Lucie Monier-Reyes. An excerpt is below.
“En janvier 2018, le Bureau des Avocats Internationaux (BAI), basé en Haïti, a déposé plainte devant les tribunaux haïtiens au nom de dix enfants engendrs par les Casques bleus. Le BAI espérait alors faire pression sur l’ONU pour obtenir des tests de paternité et à terme des pensions alimentaires pour ces enfants.
Un an plus tard, le BAI adresse une lettre ouverte à l’avocate des droits des victimes des Nations Unies, Jane Connors, dans laquelle il dénonce le manque de réactivité et de coopération. L’ONU, explique Sarah Wisner, avocate à l’Institut pour la Justice et la Démocratie en Haïti, cabinet associé au BAI,”refusé de fournir des preuves en sa possession, telles que le résultat de tests ADN (…) Elle a également contourné les avocats des victimes en communiquant directement avec les victimes”. Et de conclure “l‘approche de l’ONU envoie un message alarmant de manque de respect pour le système judiciaire haïtien et lÉtat de droit“.”
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